no diggity.

Remington Kidd Jr.

nom ☇ kidd comme mon père et son père avant lui et son père encore avant lui, une belle lignée de beaux gosses. prénoms ☇ y'a des choses qu'il faut savoir garder pour soi, remi sera le prénom que tu me donneras. age et date de naissance ☇ vingt-quatre ans, né un huit mars à dix heures quarante tu veux aussi mon numéro de sécurité sociale ? nationalité ☇ américain. origine ☇ américaines. statut social ☇ jamais célibataire, jamais en couple. orientation sexuelle ☇ hétérosexuel. niveau d'étude ☇ error. job ☇ dessinateur, j'suis pas bon à grand chose mais mets-moi des crayons à disposition, t'auras tout compris. revenus ☇ merci papa. statut familial ☇ une mère décédée, c'est triste, un père toujours absent mais riche à souhait, une petite soeur, unique famille si l'on considère la situation. traits de caractère ☇ fidèle, rebelle, têtu, rusé, intelligent, dragueur, confiant, entier, aimant, romantique, déterminé, protecteur, joueur. tentations ☇ c'est maintenant qu'on parle du canon qui traîne dans la maison en ce moment et qui partage le pieu de mon paternel ? % de tentation ☇ quelque part entre 95 et 95.1%.

PERSONNAGE

TENTATION

PERSONNEL

(+) je suis allergique aux noisettes, mauvais souvenirs. (+) je danse mal mais j'aime danser alors fuck off. (+) la cuisine, ça me connait, demandes pas pourquoi, même moi, j'y comprends rien, ça vient tout seul. (+) j'ai été à la fac, deux semaines, mon père pense toujours que j'y vais d'ailleurs. naïf, ça fait trois ans que je glande en profitant de son argent. (+) le dessin s'est présenté à moi par hasard. c'est mon gagne pain maintenant, enfin... ça le serait si papa n'était pas là pour payer quand ça manque. (+) c'était le droit que j'étais censé étudier, un tas de conneries ouais. comme si j'allais suivre les pas de ce pingouin en costard. (+) c'est son absence quasi permanente depuis la mort de ma mère qui fait qu'aujourd'hui, il n'est presque plus rien pour moi. (+) j'ai quand même des scrupules quand je matte sa meuf, c'est mon père quand même. (+) bébé kidd est la femme de ma vie, pour la vie, j'ai loupé les premières années de sa vie, j'compte les rattraper sur le restant de son existence. (+) j'suis pas un connard, je suis fidèle quand j'aime une femme, j'suis clair quand j'ai juste envie de baiser. (+) j'fais des courses, de voiture, ça m'fait du bien. (+) ma mère est morte quand j'avais sept ans, grande perte, personne ne pourra jamais la remplacer, heureusement, bébé kidd était là, c'est pas le vieux qui aurait pu me réconforter. (+) j'porte son patronyme malheureusement, j'suis un junior mais ça, j'préfère qu'on le taise, remi kidd c'est déjà pas mal.

depuis quand es-tu sur san francisco, et que viens-tu y faire ☇ toujours, j'suis un vrai moi, j'suis né dans un hôpital du centre, j'y ai toujours vécu et j'y vivrais probablement jusqu'à la fin. si tu devais choisir un pays sur la planète, ce serait lequel ☇ peu importe du moment que la vie continue telle qu'elle est aujourd'hui, on peut pas dire que je sois malheureux... as-tu déjà été tenté de tout recommencer à zéro dans ta vie, l'as-tu fais ☇ jamais, reprendre de zéro c'est pour les guignols.

« AND I AM SO TEMPTED TO TOUCH. TEMPTED TO GET. »

on me présente plus no diggity. 2551286156

crédits ☇ fuckyeahjulesschratter sur tumblr.

will you be my temptation ?

ce soir j'ai pas le sourire, c'est comme ça qu'on dit quand on s'ennuie à mourir, mais ça pourrait être pire, on n'a la vie jolie, ça se fait pas de l'ouvrir, c'est vraiment pas poli. merde. tequila, la pétasse. quelques heures après, enfiler tout ces verres n'avait plus l'air d'être une si bonne idée. j'avais du mal à émerger, un café. vite. maintenant. je me levais. oh la monde, arrêtes donc de tourner ! je ne me souvenais plus de la nuit passée, pourtant, j'étais presque sûr d'avoir eu de la compagnie cette nuit, elle était probablement partie avant l'aube, sage décision. les membres ankylosé, je m'étirais tranquillement en traînant des pieds jusqu'à l'immense cuisine. du lait, bonne idée. j'attrapais le bidon et avalais trois longues gorgées en détaillant la pièce. la femme de ménage venait probablement de partir vu l'éclat que dégageait le plan de travail en marbre. c'est là qu'elle entra. merde. une bombe, un putain de canon, à moitié à poil comme toujours ! putain... mon père, ce connard, lui qui baisait cette créature de rêve quasi quotidiennement. je m'installais au comptoir, essayant de regarder autre part avec difficultés. un corps pareil... personne ne pouvait passer à côté. je la regardais s'approcher de moi, trop près, son corps nu frôlant pratiquement le mien, elle le faisait exprès, je le savais. je profitais des yeux, jamais autrement, respectueux envers ce père qui n'avait pourtant jamais rien fait pour acquérir mon respect. elle posait sa main sur ma peau, un frisson. dégages putain, dégages ! elle me rendait fou, elle me rendait malade, prêt à franchir une limite que je m'étais toujours raisonnablement interdit de franchir. j'avais des principes et me taper la pouffe de père... je sentais ses doigts sur ma peau, regrettant presque l'absence de tissu entre sa main et mon dos. elle me faisait un putain d'effet, je le sentais jusque dans mon pantalon. merde. merde. merde. j'attendais, silencieux, le souffle court, les lèvres entrouvertes, j'allais craquer si elle ne disparaissait pas maintenant. j'allais craquer comme jamais. je ne pouvais pas faire ça, jamais. mon père n'était pas l'homme que j'appréciais le plus au monde mais... c'était sa nana putain. elle sortait du lit du vieux, puait encore de son immonde odeur post-sexe. rien que de l'imaginer avec lui, dégueulasse. je tournais la tête pour la regarder, oh putain non. je comprenais pourquoi mon paternel avait succomber, personne ne devait d'ailleurs résister à la bombe qu'elle était, elle le savait, c'était difficile, trop difficile, j'en pouffais de rire. dégages graziella, va retrouver ton chemin vers le pieu de mon père, jamais je ne succomberais. jamais je ne le trahirais. enfin... si elle arrêtait tout de suite avec ces caresses. une pulsion. une envie incroyable d'entrer en elle là maintenant, sur le comptoir de cette cuisine, une bonne fois pour toute. résister. il fallait que je résiste à cette putain de tentation à laquelle elle me soumettait. tires-toi de là putain.